Le banditisme économique s’installe dans le secteur du tourisme
Bien des actes pour assainir le secteur du tourisme sénégalais ont été posés depuis l’avènement de l’alternance, des progrès appuyés par les syndicats et professionnels du tourisme, mais le secteur du tourisme peine a distribué des dividendes de sa croissance aux populations et à l’Etat du Sénégal, du fait d’un banditisme, connu et souvent dénoncé mais aussi déclaré aux autorités concernées ; résultat : aucune mesure ou sanction n’est appliquée.
La guerre des chiffres à longtemps opposée le Ministère du tourisme et des transports aériens, les organisations patronales et les directeurs de réceptifs hôteliers sur le nombre des arrivées (touristes) et la polémique avait fini de dire que ceux sont les résidences et para-hôtellerie qui sont à l’origine de tous les maux du secteur et qui gâchent la libre concurrence.
Mais le débat en son temps avait été faussé, car s’il est vrai que les résidences et para-hôtellerie ne sont pas en règle de manière générale le vrai problème se situe dans les comportements la tricherie, le vol, le mensonge, la complicité d’agents de l’Etat, des taxes sous évaluées, des impôts impayés, des redevances négociés, au détriment de l’Etat et des populations pour le plus grand bénéfice de deux personnes qui sont : le corrupteur et le corrompu.
La bonne gouvernance ne concerne pas seulement l’Etat et les sociétés publiques mais bien au-delà toutes les activités économiques du pays et principalement les sociétés privés ou une attention particulière leur doit être réservée du fait de l’aspect social et des emplois que doit garantir l’Etat à tous citoyens et qui est gage de paix sociale et de stabilité dans les foyers.
En ce début d’année période des bilans et des résultats je me fais le porte parole des sans voix ainsi que celui des opérateurs qui savent tout et pensent tout bas ce que nous raconte ce professionnel du tourisme actionnaire dans une société de tourisme, qui découvre avec stupéfaction les manœuvres frauduleuses, d’action de corruptions de trafic de devises de transfert d’argent, d’utilisation d’agrément attribué a autrui, falsification de chiffres, ainsi que des prestations non conforme à des prix excessif etc…. de bons nombre d’expatriés exerçant dans le tourisme et particulièrement de son associé un Franco Algérien avec qui il a monté et mis en place la société Soleil dafrique.
Aujourd’hui ce Sénégalais lance un appel à l’Etat du Sénégal et lui demande de prendre ses responsabilités et d’engager une vraie restructuration du secteur pour tracquer les bandits, les corrupteurs et les corrompus ne serait ce que par devoir de mémoire et pour l’image de notre pays.
Ainsi il demande aux autorités de faire le bilan des exonérations dans le secteur du tourisme le manque à gagner pour l’Etat et de le comparer à l’état de santé du secteur du tourisme pour revoir sa stratégie et mettre en évidence chez les bénéficiaires du guichet unique un médaillon ou un signe distinctif facilement reconnaissable par les acteurs et les populations pour une meilleure gestion de la transparence, de la concurrence, et de la performance.
Le Ministère du tourisme en collaboration avec la brigade de bonne gouvernance et de la corruption du ministère des finances ainsi que les gouverneurs de régions doivent lancer une action commune et simultanée, couvrant les zones touristiques pour l’assainissement total du secteur, une enquête portant sur les comportements, la forme de gestion, la conversion d’activité en active et la mise à mort programmé de structure, dont la raison n’est pas souvent avouée.
Ainsi les résultats obtenus nous dirons qui est qui et qui fait quoi dans ce secteur ou bon nombre de sénégalais sont a la merci d’étrangers venus pour la plus part pour travestir le secteur du tourisme qui est l’un des poumons de notre économie.
Ce secteur par excellence doit être sélectif, ne compter que sur des hommes et des femmes de qualité morale irréprochable, d’expérience et de volonté à partager avec les populations les richesses ainsi créée par un partenariat digne qui respect nos textes et lois et l’égalité des chances, car peu d’entre eux sont diplômes du secteur touristique et ne sont que des amateurs et aventuriers sans titre de séjour à la recherche de gain facile, ils s’appellent arnaqueurs, pédophiles, trafiquants des hors la loi, d’où l’intérêt et le choix qu’ils portent sur le Sénégal ; un pays sans formalité aucune pour les européens ni visa, ni caution, ni parrain crédible, et c’est la porte ouverte à toutes les pratiques.
Si le Sénégal doit être fier et parler de partenariat équilibré dans un esprit de «gagnons ensemble et partageons équitablement » c’est sûrement avec de grands groupes dont la notoriété, le professionnalisme, dans le secteur du tourisme n’est plus à démontrer c’est ceux là qu’il faut démarcher, en mettant en contribution les jeunes diplômés du tourisme et c’est sans conteste que nous allons vers des lendemains meilleurs.
A en croire ce professionnel qui veut garder l’anonymat les problèmes du tourisme ne sont plus à chercher du coté du produit ou de la diversité des marchés ni à la promotion, car dit-il le Sénégal comme destination touristique se porte bien par sa diplomatie sa stabilité politique et sociale, son sens de la téranga, et ses atouts géographiques naturels.
Ce qu’il faut maintenant c’est un chef pour assainir, réglementer, conseiller, contrôler et dynamiser les efforts pour que le peu de recettes qui rentrent soient dirigées la où il faut, c’est à dire vers les bénéficiaires légitimes.
Mouhamed Faouzou DEME
Bien des actes pour assainir le secteur du tourisme sénégalais ont été posés depuis l’avènement de l’alternance, des progrès appuyés par les syndicats et professionnels du tourisme, mais le secteur du tourisme peine a distribué des dividendes de sa croissance aux populations et à l’Etat du Sénégal, du fait d’un banditisme, connu et souvent dénoncé mais aussi déclaré aux autorités concernées ; résultat : aucune mesure ou sanction n’est appliquée.
La guerre des chiffres à longtemps opposée le Ministère du tourisme et des transports aériens, les organisations patronales et les directeurs de réceptifs hôteliers sur le nombre des arrivées (touristes) et la polémique avait fini de dire que ceux sont les résidences et para-hôtellerie qui sont à l’origine de tous les maux du secteur et qui gâchent la libre concurrence.
Mais le débat en son temps avait été faussé, car s’il est vrai que les résidences et para-hôtellerie ne sont pas en règle de manière générale le vrai problème se situe dans les comportements la tricherie, le vol, le mensonge, la complicité d’agents de l’Etat, des taxes sous évaluées, des impôts impayés, des redevances négociés, au détriment de l’Etat et des populations pour le plus grand bénéfice de deux personnes qui sont : le corrupteur et le corrompu.
La bonne gouvernance ne concerne pas seulement l’Etat et les sociétés publiques mais bien au-delà toutes les activités économiques du pays et principalement les sociétés privés ou une attention particulière leur doit être réservée du fait de l’aspect social et des emplois que doit garantir l’Etat à tous citoyens et qui est gage de paix sociale et de stabilité dans les foyers.
En ce début d’année période des bilans et des résultats je me fais le porte parole des sans voix ainsi que celui des opérateurs qui savent tout et pensent tout bas ce que nous raconte ce professionnel du tourisme actionnaire dans une société de tourisme, qui découvre avec stupéfaction les manœuvres frauduleuses, d’action de corruptions de trafic de devises de transfert d’argent, d’utilisation d’agrément attribué a autrui, falsification de chiffres, ainsi que des prestations non conforme à des prix excessif etc…. de bons nombre d’expatriés exerçant dans le tourisme et particulièrement de son associé un Franco Algérien avec qui il a monté et mis en place la société Soleil dafrique.
Aujourd’hui ce Sénégalais lance un appel à l’Etat du Sénégal et lui demande de prendre ses responsabilités et d’engager une vraie restructuration du secteur pour tracquer les bandits, les corrupteurs et les corrompus ne serait ce que par devoir de mémoire et pour l’image de notre pays.
Ainsi il demande aux autorités de faire le bilan des exonérations dans le secteur du tourisme le manque à gagner pour l’Etat et de le comparer à l’état de santé du secteur du tourisme pour revoir sa stratégie et mettre en évidence chez les bénéficiaires du guichet unique un médaillon ou un signe distinctif facilement reconnaissable par les acteurs et les populations pour une meilleure gestion de la transparence, de la concurrence, et de la performance.
Le Ministère du tourisme en collaboration avec la brigade de bonne gouvernance et de la corruption du ministère des finances ainsi que les gouverneurs de régions doivent lancer une action commune et simultanée, couvrant les zones touristiques pour l’assainissement total du secteur, une enquête portant sur les comportements, la forme de gestion, la conversion d’activité en active et la mise à mort programmé de structure, dont la raison n’est pas souvent avouée.
Ainsi les résultats obtenus nous dirons qui est qui et qui fait quoi dans ce secteur ou bon nombre de sénégalais sont a la merci d’étrangers venus pour la plus part pour travestir le secteur du tourisme qui est l’un des poumons de notre économie.
Ce secteur par excellence doit être sélectif, ne compter que sur des hommes et des femmes de qualité morale irréprochable, d’expérience et de volonté à partager avec les populations les richesses ainsi créée par un partenariat digne qui respect nos textes et lois et l’égalité des chances, car peu d’entre eux sont diplômes du secteur touristique et ne sont que des amateurs et aventuriers sans titre de séjour à la recherche de gain facile, ils s’appellent arnaqueurs, pédophiles, trafiquants des hors la loi, d’où l’intérêt et le choix qu’ils portent sur le Sénégal ; un pays sans formalité aucune pour les européens ni visa, ni caution, ni parrain crédible, et c’est la porte ouverte à toutes les pratiques.
Si le Sénégal doit être fier et parler de partenariat équilibré dans un esprit de «gagnons ensemble et partageons équitablement » c’est sûrement avec de grands groupes dont la notoriété, le professionnalisme, dans le secteur du tourisme n’est plus à démontrer c’est ceux là qu’il faut démarcher, en mettant en contribution les jeunes diplômés du tourisme et c’est sans conteste que nous allons vers des lendemains meilleurs.
A en croire ce professionnel qui veut garder l’anonymat les problèmes du tourisme ne sont plus à chercher du coté du produit ou de la diversité des marchés ni à la promotion, car dit-il le Sénégal comme destination touristique se porte bien par sa diplomatie sa stabilité politique et sociale, son sens de la téranga, et ses atouts géographiques naturels.
Ce qu’il faut maintenant c’est un chef pour assainir, réglementer, conseiller, contrôler et dynamiser les efforts pour que le peu de recettes qui rentrent soient dirigées la où il faut, c’est à dire vers les bénéficiaires légitimes.
Mouhamed Faouzou DEME
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