Une réflexion sur les questions du jour dont des insuffisances qui incitent aux défis
Ma citation du jour « Le marketing est dans l’appellation des produits et de leurs terroirs »
Tous les directeurs du secteur du tourisme et de l'artisanat des différentes régions du pays devraient se rencontrer sous la supervision du Directeur de cabinet du ministre du tourisme pour dresser un état des besoins et des évolutions du secteur ainsi que les effets découlant des dispositifs pris dans le cadre de la redynamisation des activités de la saison touristique 2011 /2012.
Cela après le vote du budget du département pour définir la priorisation des priorités de l’exercice.
Il y a lieu de relever que cette rencontre d'évaluation des priorités par rapport aux moyens disponibles vise, entre autres, l'unification et l’harmonisation des visions sur le secteur et aux fins de concrétiser les objectifs arrêtés dans la stratégie de développement et de promotion du secteur du tourisme et de l'artisanat.
Cette rencontre va s'inscrire dans le prolongement des rencontres du ministre du tourisme effectuées dans les régions touristiques les derniers mois, aux fins d'évaluation objectives et permanentes de l'état d'avancement sur le terrain des programmes d'actions retenus dans le cadre du processus de développement du secteur du tourisme dans notre pays.
S’y ajoute que cette rencontre/ évaluation ne va pas manquer de relever les insuffisances constatées ça et là et qui incitent forcément les acteurs à la recherche de solutions appropriées afin de relever les défis majeurs.
Ces défis nous obligent à rechercher des solutions tout en privilégiant l'auto financement, la créativité et l'imagination, mais de bannir tous mauvais comportements et de mauvaises gestion ainsi que la routine et l'improvisation.
Il faut condamner avec fermeté les attitudes, contraire au volontarisme, au sens de l'initiative et de l'anticipation qui doivent être les mots d'ordre qui guident nos actions.
Si nous voulons gagner le pari de construire la destination Sénégal, il nous faut nous rappeler ce qui a été possible à Charm El cheikh en Egypte, à Hammamet en Tunisie, à El Akaba en Jordanie ou à Saadia au Maroc, est réalisable à Mbodjéne, à Saint Louis, au technopole de Dakar, aux iles du Saloum, au parc de Hann d'autant plus que sur le volet potentiel et des atouts, le Sénégal est bien doté.
D’ailleurs, je considère comme pivot du secteur toutes les ressources humaines disponibles, pour le passage de notre pays du statut de l'un des pays les moins avancés du tourisme, à celui d'un pays le plus visité et fréquenté au monde.
Sur ces recommandations, il me plait de lancer un appel aux directeurs de structures de tourisme publics et privés afin qu'ils tissent des liens constructifs avec les promoteurs, les tours operators, les investisseurs tout en les considérants comme des personnes qui ont fait le choix d'investir dans notre pays au bénéfice du secteur du tourisme, plutôt que de les considérer comme une source de problèmes et de personnes venues piller nos richesses.
A ceux là, je veux indiquer que l'accompagnement et le travail de proximité devront s'ériger en véritable réflexe et je ne cesse de le rappeler.
La crise économique, financière et l’échec des politiques n'épargnent pas le tourisme, mais les grands évènements sportifs peuvent redonner un second souffle à ce secteur qui devrait mieux se porter avec les voyages d’affaires, de congrès, de séminaires et de conférences qui servent à relancer le dialogue à la recherche de solutions pour la crise.
Ce message que je viens de lancer en direction des directeurs du tourisme mais également des agences de tourisme et de voyages, des hôteliers, du mouvement associatif et des bonnes volontés désirant contribuer au développement du secteur du tourisme se veut responsable et cela rappel également les missions régaliennes de contrôle et de suivi de l’Etat.
Une innovation politique et un défi participatif majeur.
Une commune peut-elle verser des subventions à un office de tourisme ?
Dans mes recherches, un cas d’école m’a inspiré a travers ce code français qui stipule :
Le Code du tourisme notamment ses articles L.133-1 et L.133-2 et L.133-4 à L.133-10 prévoit qu’une commune peut, par délibération du conseil municipal, instituer un organisme chargé de la promotion du tourisme, dénommé office de tourisme, et que cet organisme peut être constitué sous la forme d’un établissement public industriel et commercial (Epic). Un Epic est une personne morale de droit public. Observons le statut de la SAPCO et étudions la possibilité pour cette dernière de contribuer aux financements de la promotion du tourisme.
Aux termes de l’article 133-3 du Code du tourisme, un office de tourisme peut exercer des missions de deux ordres :
L’article L.2224-2 du Code général des collectivités territoriales énonce le principe selon lequel il est interdit aux communes de prendre en charge dans leur budget propre des dépenses au titre des services publics à caractère industriel ou commercial exploités en régie, affermés ou concédés.
Il prévoit néanmoins des dérogations, si l’office de tourisme constitué sous forme d’Epic exerce des missions de service public de nature commerciale, les subventions qu’il reçoit à ce titre doivent respecter les dispositions de cet article.
Enfin, l’article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations s’applique aux subventions attribuées à des organismes de droit privé.
Découvrez sur ce lien http://www.casamance-tourisme.sn/ l'office du tourisme de Casamance une exception que l'on ne retrouve pas dans les autres régions du Sénégal.
Un débat sur une nouvelle politique de promotion du tourisme s’impose
Un colloque de réflexion traitant de la promotion du tourisme sénégalais sur les marchés émetteurs internationaux pour l'année 2012 devrait se tenir chaque année.
Assisteront à ce débat, les représentants du tourisme sénégalais à l'étranger, les représentants des agences étrangères de communication en relation ou en partenariat avec l’ANPT, des professionnels, ainsi que les présidents des fédérations et associations de tourisme.
L’authenticité et la téranga sénégalaise se doit d'être davantage visible dans notre politique promotionnelle. Concrètement, de nouveaux leviers de promotion tels que le recours aux supports télévisuels devront être appliqué et les stands du Sénégal dans les grandes manifestations internationales devront subir un réaménagement structurel.
Quant à l’utilisation du budget promotionnel dans sa répartition, il est a indiqué que les marchés à fort potentiel émetteur devront bénéficier d'un effort particulier, tel que le marché russe dont les actions de promotion doivent être intensifiée.
J'ignore... et j'aimerais apprendre.
Des constats ont été réalisés depuis des mois, des années, par la plupart des intervenants ou personnes ayant quelques informations, même superficielles, sur la situation du tourisme au Sénégal. Des "acteurs" du tourisme n'ayant la plupart du temps que leur imagination, leurs rêves, leur volonté et le courage de bousculer des situations établies depuis de longues années, ont souvent fait des propositions pour inverser la spirale négative du tourisme sénégalais.
Néanmoins les informations disponibles n'apportent absolument aucune nouveauté sur les prochaines et futures orientations du tourisme et de l'activité touristique au Sénégal.
J'ignore absolument, si la promotion du tourisme s'aventurera ou non, en dehors des sentiers balisés qui ont montré leurs limites.
J'ignore encore, si la promotion du tourisme prendra réellement en compte les actions novatrices déjà entreprises, signalées durant le TICAA 2011 et qui s'inscrivent tant dans la diversification que dans le rehaussement qualitatif de la destination Sénégal.
J'ignore actuellement, si la promotion du tourisme sénégalais s'inscrira dans les courants et les orientations qui font le succès plutôt que l'indifférence.
le pôle touristique ainsi constituéà travers ces rencontres entendra structurer, diversifier et moderniser l'offre autour de produits et de services de qualité, organiser et professionnaliser les acteurs touristiques et augmenter l'offre, dans l'optique d'allonger la durée moyenne des séjours et de favoriser la fréquentation à l'année.
Pour cela, il faut impulser la création d'un véritable territoire de projets en misant sur la coopération entre les acteurs privés, publics et institutionnels.
Une autre innovation de taille en rapport avec le produit : C’est la création d’un musée de la photographie.
Il faut que le continent Africain participe activement à l’histoire de l’art et du monde culturel, son patrimoine constitue un gisement important pour le développement des cultures et du tourisme. Ces plateformes et ces manifestations sont fondamentales dans la visibilité des artistes, des œuvres et de la destination.
Ce projet a pour objectif de partager des expériences sénégalaises, comme étrangères dans la reconnaissance du patrimoine, et plus particulièrement du patrimoine photographique du Sénégal d’hier et d’aujourd’hui.
À assurer une formation initiale au concept de patrimoine photographique, ainsi qu’à encourager la société à collectionner, conserver et protéger les valeurs que représentent ce patrimoine du Sénégal.
Il portera au cours de 150 années voire plus, les photos sur le Sénégal qui sont des archives à part entière sur le plan architectural, historique, journalistique culturelle et artistique - prises par des photographes sénégalais comme étrangers, qui sont un véritable patrimoine national mais aussi de l'humanité.
Il faut protéger et valoriser ce patrimoine culturel et touristique ne serait-ce que pour répondre aux besoins d'éducation, de culture et d'art de l'Homme qui constitue un important levier de développement.
A cette fin, et pour le développement du tourisme et la diversification des produits un musée spécialisé pour doper le tourisme, pourrait être créé avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la région Wallonie, et notamment du musée de la Photographie de Charleroi.
Pourquoi la Fédération Wallonie-Bruxelles :
Pour deux raison, l’une pour dynamiser et relancer le marché belge et par ricochet attirer des touristes belges qui aiment le musée de la photographie ainsi que les civilisations africaines surtout celles des anciennes colonies.
Ce musée aura pour but de collectionner, de conserver et de protéger le patrimoine photographique à travers diverses activités telles que des expositions, présentations, projection de film sur la photo l’éducation et la diffusion. Il sera une institution culturelle consacrée à l'étude, à l’éducation et à la culture historique comme artistique du public et du tourisme.
Il faut un regard alternatif sur la diversité de la richesse culturelle touristique et artistique de la création Africaine.
Mouhamed Faouzou DEME
Ma citation du jour « Le marketing est dans l’appellation des produits et de leurs terroirs »
Tous les directeurs du secteur du tourisme et de l'artisanat des différentes régions du pays devraient se rencontrer sous la supervision du Directeur de cabinet du ministre du tourisme pour dresser un état des besoins et des évolutions du secteur ainsi que les effets découlant des dispositifs pris dans le cadre de la redynamisation des activités de la saison touristique 2011 /2012.
Cela après le vote du budget du département pour définir la priorisation des priorités de l’exercice.
Il y a lieu de relever que cette rencontre d'évaluation des priorités par rapport aux moyens disponibles vise, entre autres, l'unification et l’harmonisation des visions sur le secteur et aux fins de concrétiser les objectifs arrêtés dans la stratégie de développement et de promotion du secteur du tourisme et de l'artisanat.
Cette rencontre va s'inscrire dans le prolongement des rencontres du ministre du tourisme effectuées dans les régions touristiques les derniers mois, aux fins d'évaluation objectives et permanentes de l'état d'avancement sur le terrain des programmes d'actions retenus dans le cadre du processus de développement du secteur du tourisme dans notre pays.
S’y ajoute que cette rencontre/ évaluation ne va pas manquer de relever les insuffisances constatées ça et là et qui incitent forcément les acteurs à la recherche de solutions appropriées afin de relever les défis majeurs.
Ces défis nous obligent à rechercher des solutions tout en privilégiant l'auto financement, la créativité et l'imagination, mais de bannir tous mauvais comportements et de mauvaises gestion ainsi que la routine et l'improvisation.
Il faut condamner avec fermeté les attitudes, contraire au volontarisme, au sens de l'initiative et de l'anticipation qui doivent être les mots d'ordre qui guident nos actions.
Si nous voulons gagner le pari de construire la destination Sénégal, il nous faut nous rappeler ce qui a été possible à Charm El cheikh en Egypte, à Hammamet en Tunisie, à El Akaba en Jordanie ou à Saadia au Maroc, est réalisable à Mbodjéne, à Saint Louis, au technopole de Dakar, aux iles du Saloum, au parc de Hann d'autant plus que sur le volet potentiel et des atouts, le Sénégal est bien doté.
D’ailleurs, je considère comme pivot du secteur toutes les ressources humaines disponibles, pour le passage de notre pays du statut de l'un des pays les moins avancés du tourisme, à celui d'un pays le plus visité et fréquenté au monde.
Sur ces recommandations, il me plait de lancer un appel aux directeurs de structures de tourisme publics et privés afin qu'ils tissent des liens constructifs avec les promoteurs, les tours operators, les investisseurs tout en les considérants comme des personnes qui ont fait le choix d'investir dans notre pays au bénéfice du secteur du tourisme, plutôt que de les considérer comme une source de problèmes et de personnes venues piller nos richesses.
A ceux là, je veux indiquer que l'accompagnement et le travail de proximité devront s'ériger en véritable réflexe et je ne cesse de le rappeler.
La crise économique, financière et l’échec des politiques n'épargnent pas le tourisme, mais les grands évènements sportifs peuvent redonner un second souffle à ce secteur qui devrait mieux se porter avec les voyages d’affaires, de congrès, de séminaires et de conférences qui servent à relancer le dialogue à la recherche de solutions pour la crise.
Ce message que je viens de lancer en direction des directeurs du tourisme mais également des agences de tourisme et de voyages, des hôteliers, du mouvement associatif et des bonnes volontés désirant contribuer au développement du secteur du tourisme se veut responsable et cela rappel également les missions régaliennes de contrôle et de suivi de l’Etat.
Une innovation politique et un défi participatif majeur.
Une commune peut-elle verser des subventions à un office de tourisme ?
Dans mes recherches, un cas d’école m’a inspiré a travers ce code français qui stipule :
Le Code du tourisme notamment ses articles L.133-1 et L.133-2 et L.133-4 à L.133-10 prévoit qu’une commune peut, par délibération du conseil municipal, instituer un organisme chargé de la promotion du tourisme, dénommé office de tourisme, et que cet organisme peut être constitué sous la forme d’un établissement public industriel et commercial (Epic). Un Epic est une personne morale de droit public. Observons le statut de la SAPCO et étudions la possibilité pour cette dernière de contribuer aux financements de la promotion du tourisme.
Aux termes de l’article 133-3 du Code du tourisme, un office de tourisme peut exercer des missions de deux ordres :
- d’une part, des missions de service public administratif comme l’accueil et l’information des touristes ainsi que la promotion touristique de la commune ;
- d’autre part, des missions de service public de nature commerciale comme la commercialisation des prestations de services touristiques.
L’article L.2224-2 du Code général des collectivités territoriales énonce le principe selon lequel il est interdit aux communes de prendre en charge dans leur budget propre des dépenses au titre des services publics à caractère industriel ou commercial exploités en régie, affermés ou concédés.
Il prévoit néanmoins des dérogations, si l’office de tourisme constitué sous forme d’Epic exerce des missions de service public de nature commerciale, les subventions qu’il reçoit à ce titre doivent respecter les dispositions de cet article.
Enfin, l’article 10 de la loi n° 2000-321 du 12 avril 2000 relative aux droits des citoyens dans leurs relations avec les administrations s’applique aux subventions attribuées à des organismes de droit privé.
Découvrez sur ce lien http://www.casamance-tourisme.sn/ l'office du tourisme de Casamance une exception que l'on ne retrouve pas dans les autres régions du Sénégal.
Un débat sur une nouvelle politique de promotion du tourisme s’impose
Un colloque de réflexion traitant de la promotion du tourisme sénégalais sur les marchés émetteurs internationaux pour l'année 2012 devrait se tenir chaque année.
Assisteront à ce débat, les représentants du tourisme sénégalais à l'étranger, les représentants des agences étrangères de communication en relation ou en partenariat avec l’ANPT, des professionnels, ainsi que les présidents des fédérations et associations de tourisme.
L’authenticité et la téranga sénégalaise se doit d'être davantage visible dans notre politique promotionnelle. Concrètement, de nouveaux leviers de promotion tels que le recours aux supports télévisuels devront être appliqué et les stands du Sénégal dans les grandes manifestations internationales devront subir un réaménagement structurel.
Quant à l’utilisation du budget promotionnel dans sa répartition, il est a indiqué que les marchés à fort potentiel émetteur devront bénéficier d'un effort particulier, tel que le marché russe dont les actions de promotion doivent être intensifiée.
J'ignore... et j'aimerais apprendre.
Des constats ont été réalisés depuis des mois, des années, par la plupart des intervenants ou personnes ayant quelques informations, même superficielles, sur la situation du tourisme au Sénégal. Des "acteurs" du tourisme n'ayant la plupart du temps que leur imagination, leurs rêves, leur volonté et le courage de bousculer des situations établies depuis de longues années, ont souvent fait des propositions pour inverser la spirale négative du tourisme sénégalais.
Néanmoins les informations disponibles n'apportent absolument aucune nouveauté sur les prochaines et futures orientations du tourisme et de l'activité touristique au Sénégal.
J'ignore absolument, si la promotion du tourisme s'aventurera ou non, en dehors des sentiers balisés qui ont montré leurs limites.
J'ignore encore, si la promotion du tourisme prendra réellement en compte les actions novatrices déjà entreprises, signalées durant le TICAA 2011 et qui s'inscrivent tant dans la diversification que dans le rehaussement qualitatif de la destination Sénégal.
J'ignore actuellement, si la promotion du tourisme sénégalais s'inscrira dans les courants et les orientations qui font le succès plutôt que l'indifférence.
... Et j'aimerais apprendre tout cela de tous ceux qui jouent et doivent jouer un rôle dans la redynamisation du tourisme sénégalais
Les axes de développement du territoire, le positionnement de la destination, les choix de promotion, de communications, sont autant de sujets sur lesquels les professionnels du tourisme doivent être impliqués et c'est naturellement que l'idée de créer ces rencontres a émergé dans mon esprit.le pôle touristique ainsi constituéà travers ces rencontres entendra structurer, diversifier et moderniser l'offre autour de produits et de services de qualité, organiser et professionnaliser les acteurs touristiques et augmenter l'offre, dans l'optique d'allonger la durée moyenne des séjours et de favoriser la fréquentation à l'année.
Pour cela, il faut impulser la création d'un véritable territoire de projets en misant sur la coopération entre les acteurs privés, publics et institutionnels.
Une autre innovation de taille en rapport avec le produit : C’est la création d’un musée de la photographie.
Il faut que le continent Africain participe activement à l’histoire de l’art et du monde culturel, son patrimoine constitue un gisement important pour le développement des cultures et du tourisme. Ces plateformes et ces manifestations sont fondamentales dans la visibilité des artistes, des œuvres et de la destination.
Ce projet a pour objectif de partager des expériences sénégalaises, comme étrangères dans la reconnaissance du patrimoine, et plus particulièrement du patrimoine photographique du Sénégal d’hier et d’aujourd’hui.
À assurer une formation initiale au concept de patrimoine photographique, ainsi qu’à encourager la société à collectionner, conserver et protéger les valeurs que représentent ce patrimoine du Sénégal.
Il portera au cours de 150 années voire plus, les photos sur le Sénégal qui sont des archives à part entière sur le plan architectural, historique, journalistique culturelle et artistique - prises par des photographes sénégalais comme étrangers, qui sont un véritable patrimoine national mais aussi de l'humanité.
Il faut protéger et valoriser ce patrimoine culturel et touristique ne serait-ce que pour répondre aux besoins d'éducation, de culture et d'art de l'Homme qui constitue un important levier de développement.
A cette fin, et pour le développement du tourisme et la diversification des produits un musée spécialisé pour doper le tourisme, pourrait être créé avec l’aide de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la région Wallonie, et notamment du musée de la Photographie de Charleroi.
Pourquoi la Fédération Wallonie-Bruxelles :
Pour deux raison, l’une pour dynamiser et relancer le marché belge et par ricochet attirer des touristes belges qui aiment le musée de la photographie ainsi que les civilisations africaines surtout celles des anciennes colonies.
Ce musée aura pour but de collectionner, de conserver et de protéger le patrimoine photographique à travers diverses activités telles que des expositions, présentations, projection de film sur la photo l’éducation et la diffusion. Il sera une institution culturelle consacrée à l'étude, à l’éducation et à la culture historique comme artistique du public et du tourisme.
Il faut un regard alternatif sur la diversité de la richesse culturelle touristique et artistique de la création Africaine.
Mouhamed Faouzou DEME
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